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De Noailles, Apollinaire et quelques autres poètes ont prêté leurs mots à Mademoiselle Éponyme, un drôle de personnage qui nous les livre dans un joyeux délire, en compagnie de son ami homard, marionnette curieuse et délurée. Maladroite mais obstinée, elle mélange tout : le dérisoire et le sérieux, le plaisir des mots et la gravité des sens, le comique de situation et l’art de la manipulation, la fausse magie et de vraies chansons. Tout un poème !
Éponyme n’est pas une simple interprète. Elle joue avec les textes. Elle joue avec le public. Elle invente des décalages, mélange les genres et se moque des a priori sur la littérature. Elle oublie les conventions, vous expose les situations et s’inquiète de vos réactions.
Maladroite mais obstinée, Éponyme mélange tout : le dérisoire et le sérieux, le plaisir des mots et la gravité des sens, le comique de situation et l’art de la manipulation, la fausse magie et de vraies chansons.
Éponyme est une clowne. Si elle prend des libertés, c’est pour mieux dire l’importance des mots et la poésie d’en rire ou... le contraire.
« Un poème, c’est bien peu de choses… », c’est voyager sans déplacement, rêver sans dormir, se moquer des réalités… c’est la folie en liberté !
« …un antidote à la morosité et qui laisse scintiller dans nos yeux de petites lumières de malice et d’émerveillement. » Le Dauphiné libéré |